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Par lafouleedessousbois le 2 Février 2010 à 12:09
Le village tire son nom du château « Bel Castrum » érigé au 12 eme siecle par les seigneurs Retourtour et Briand. Ravagé depuis par les guerres de religion, il ne reste de cette place forte que la tour qui domine le village.
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Par lafouleedessousbois le 2 Février 2010 à 11:38
Chapelle Saint Blaise à Gras - (Remarquer les trous de boulin sous la toiture de l'abside) La chapelle romane Saint-Blaise, érigée au XIIIe siècle sur un éperon rocheux à l’est du village de Gras, menaçait ruine en 1960. De 1960 à 1964, elle fut l’objet d’une restauration exemplaire grâce à l’action conjuguée de la municipalité de Gras,
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Par lafouleedessousbois le 30 Janvier 2010 à 17:44Tour des Pénitents, vestige de l'ancienne chapelle Notre-Dame de la Pitié, construite en 1619 et en 1663.
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Par lafouleedessousbois le 29 Janvier 2010 à 23:37
Eglise de l'Immaculée-Conception de Bessèges (gard
ville de mon enfance
ancienne ville miniere et usine de tube fonderie et verrerie
aujourd hui il ne reste plus rien
de tout cela ville de retraite
ville dortoir
Généralités historiques
Avant 1790, hameau de la paroisse d Saint-André de Robiac.
Ses forges et ses mines en ont fait une cité.
Bessèges fut érigé en commune en 1857, et en chef-lieu de canton en 1868.
Vestiges préhistoriques et antiques
Epoque romaine : exploitation de plomb argentifère et de fer à Trelys.
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Par lafouleedessousbois le 28 Janvier 2010 à 23:28
Le paysage se partage entre les bords du Rhône et, surplombant le village, la colline du hameau de Verlieux où se trouve la chapelle Notre Dame de la Pitié. Le château de Peyraud est une propriété privée de style Louis XIII, il accueillit le premier Synode du Dauphiné en 1561. Fontaine Saint-Martin au quartier Bonnefond. Pont romain enjambant le Crémieu, avec une belle cascade en amont.
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Par lafouleedessousbois le 28 Janvier 2010 à 23:16Chateau du Grand Murier Annonay ARDECHE
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Par lafouleedessousbois le 28 Janvier 2010 à 11:22
Au Moyen Âge on mettait facilement toutes les destructions d'églises sur le compte des «Sarrasins». Il n'est pas sûr qu'ils soient venus jusqu'à Saint-Thomé ; ce pouvait tout aussi bien être le fait d'un raid de Normands au Xe siècle. En tous cas, Saint-Thomas fut reconstruite au XIIe siècle. La banale
façade actuelle en masque complètement l'appareil, mais en faisant le tour on découvre bien la structure d'une église romane à une seule nef voûtée, bien construite, avec de gros contreforts latéraux, un petit transept avec, au-dessus, une tour lanterne, puis une abside semi-circulaire. L'intérieur est malheureusement empâté de couches successives de crépis et de badigeons : on reconnaît cependant des arcatures décoratives et des arcs de décharge. Il est à souhaiter qu'un jour tout cet ensemble soit restauré et mis en valeur. Notons que la jeune Association des Amis de Saint-Thomé, en dépit de moyens encore limités, a déjà à son actif plusieurs interventions heureuses, telles que la révision de la toiture de Saint-Thomas, le ravalement de l'abside de Saint-Sébastien et la suppression des disgracieuses consoles du réseau électrique.
Église Saint-Thomas - L'abside et la coupole sur la croisée du transept
Coupole sur pendentifs
L'abside est décorée de niches creusées dans le mur
Le mur de l’abside est creusé de cinq niches semi-circulaires séparées par des colonnes. Il s’agit là d’une caractéristique du premier art lombard, qui se rencontre aussi à la chapelle octogonale de Mélas, à l’ancienne église Saint-Jean-Baptiste de Meysse, à Ruoms et à Saint-Sulpice de Trignan… Souvent ces alvéoles reposent sur un mur bahut, qui ici a peut-être été enfoui, car on remarque que le chœur est surélevé par rapport à la nef.
Cette petite ouverture, de style typiquement wisigothique, témoigne de l'anciennetéLa façade comporte quelques vestiges antiques, visiblement rapportés. Rappelons le fragment d'inscription monumentale qui cite la tribu Voltinia et ajoutons-y, sous la niche de droite qu'occupe la statue de St-Thomas apôtre, une large dalle de marbre blanc, sans doute d'origine antique, de forme trapézoïdale, ayant vraisemblablement servi de linteau à la porte de l'édifice roman, et qui offre, gravée très faiblement, une tête de Christ avec le nimbe crucifère, sculpture datant du XIIe siècle.
Pierre de remploi avec une tête de Christ gravée
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Par lafouleedessousbois le 28 Janvier 2010 à 10:59
La chapelle Saint-Clair avant restauration
La chapelle Saint-Clair, commune d’Issanlas, nous est présentée par Bernadette Enjolras, qui ne peut s’appuyer que sur une documentation limitée, un incendie à la cure de Coucouron ayant détruit de précieuses archives il y a un siècle.
L’édifice actuel, isolé à l’orée des bois, est construit à l’emplacement d’un sanctuaire païen, à proximité de voies romaines passant par Pradelles et Le Pal.
C’est un cube de granite d’allure massive et de dimensions modestes. Une restauration récente a été l’occasion de remplacer l’ancien toit couvert d’herbe par une couverture neuve de tuiles rouges qui nous a paru quelque peu incongrue. À l’intérieur, posée devant l’autel, une statue de bois polychrome, probablement du XVIIIe siècle, représente le saint vénéré en ce lieu, que l’on invoque pour les problèmes de vue et dont le culte est lié à la présence d’une source, réputée efficace dans ce domaine et située à deux cents mètres au sud, en bordure d’une « narce ».
La tradition rapporte que saint Clair était un berger et que sa sépulture est ici, sous la croix en face de la chapelle.
Dépendant jadis de l’abbaye de Mazan, cette chapelle est aujourd’hui le lieu d’un pèlerinage très populaire, le quatrième dimanche de juin.
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